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    Etape 1 - conteneur


    2016

    Les objets, au même titre que leur disparition, sont indispensable à la lecture de l'activité. Ici, les gestes sont donc une répétition du princeps jusqu'à son épuisement. La transformation constante de la forme et sa disparition progressive produisent des traces ou des rebuts, qui peuvent constituer une archive, le seul élément de témoignage de son existence. L'objet est assemblé puis désassemblé, il devient prétexte au faire.

    Sa précarité est un élément important et participe à la constitution de preuves d’une activité. Les matériaux excédentaires produits sont eux les témoins d’une transformation entre deux sujets, ils sont les signes, les indices, du processus de transformation. Seulement leurs formes, appartenant à plusieurs champs sémantiques, les éloignent de l'interprétation de l'activité. Ces rebuts ne sont donc pas autonomes malgré leur possible statut d'archives.

    C'est par la compréhension du système des objets que le statut des rebuts est précisé. C'est au regard des objets qu'a lieu la prise de conscience du processus régissant l'activité. Du fait de son caractère évolutif, la lecture de ce projet ne peut être que partielle car cette évolution nécessite une transformation constante jusqu'à la complète disparition de sa matière exploitable. Les excédents étant figés pour leur statut de témoin, ils ne sont plus exploitables. Plus la matière est transformée en archive, moins il reste de matière à archiver. Quelque soit la durée du processus, ces transformations dégénératives amènent inévitablement à ce que ces archives finissent par rendre l'activité impossible.

    Les objets, au même titre que leur disparition, sont indispensable à la lecture de l'activité. Ici, les gestes sont donc une répétition du princeps jusqu'à son épuisement. La transformation constante de la forme et sa disparition progressive produisent des traces ou des rebuts, qui peuvent constituer une archive, le seul élément de témoignage de son existence. L'objet est assemblé puis désassemblé, il devient prétexte au faire.

    Sa précarité est un élément important et participe à la constitution de preuves d’une activité. Les matériaux excédentaires produits sont eux les témoins d’une transformation entre deux sujets, ils sont les signes, les indices, du processus de transformation. Seulement leurs formes, appartenant à plusieurs champs sémantiques, les éloignent de l'interprétation de l'activité. Ces rebuts ne sont donc pas autonomes malgré leur possible statut d'archives.

    C'est par la compréhension du système des objets que le statut des rebuts est précisé. C'est au regard des objets qu'a lieu la prise de conscience du processus régissant l'activité. Du fait de son caractère évolutif, la lecture de ce projet ne peut être que partielle car cette évolution nécessite une transformation constante jusqu'à la complète disparition de sa matière exploitable. Les excédents étant figés pour leur statut de témoin, ils ne sont plus exploitables. Plus la matière est transformée en archive, moins il reste de matière à archiver. Quelque soit la durée du processus, ces transformations dégénératives amènent inévitablement à ce que ces archives finissent par rendre l'activité impossible.